Dialogue mondial sur la jeunesse / premier panel : l’éducation formelle et l’éducation non formelle au cœur des échanges

Quelques heures après le lancement officiel du dialogue mondial sur la jeunesse, les participants, environ mille jeunes Venus de plusieurs pays du monde ont suivi la première conférence-débat à la salle bleue du palais des congrès de Cotonou ce jeudi 04 avril 2024.

Le panel était composé entre autres du ministre d’État chargé du développement et de la coordination de l’action gouvernementale, Abdoulaye Bio Tchané, Chenor Bah, ministre de l’information et de l’éducation civique de la Sierra Leone et autres responsables de la société civile venus de plusieurs pays de l’Europe.

Les échanges se sont focalisés notamment sur l’importance de l’éducation informelle qui représente toutes formes d’éducation hors des murs de l’école et qui prépare à être leaders ou qui permet de s’enquérir des vrais notions pour le développement personnel. Cette forme d’éducation informelle doit compléter celle formelle ( celle acquise à l’école).

Et ce dialogue mondial de la jeunesse est «une occasion en or pour cet type d’apprentissage», dira le ministre d’État Abdoulaye Bio Tchané. L’autorité va inviter les jeunes à s’organiser pour contrer le statut quo afin d’être un membre très actif pour la communauté.

Un appel est lancé aux gouvernenants du monde entier afin que les conditions favorables soient créées pour une bonne éducation formelle mais aussi et surtout informelle. Les deux doivent être complémentaires selon les conclusions des échanges.

Ghislain Dossa Kakpo

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